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Jean-Marc me signale que le nom de 3 hommes du 147è RI figure sur le monument aux morts de la commune du Blanc Mesnil (93). Gaston FERRIOL tombé à Yoncq (08) le 28 août 1914, âgé de 22 ans. Édouard HENRI, Sergent à la 8è Cie,  décédé à l'hôpital de Revigny (55) et inhumé dans le carré militaire du Blanc Mesnil Jean KRIER, 2è Cie, tombé au Bois d'Avocourt (55),à l'âge de 33 ans. Merci à Jean-Marc qui réalise un gros travail sur le 45è RI.

L'Adjudant Armand LEBON est tombé le 17 juillet 1918 à Chézy sur Marne (02). Il était âgé de 26 ans.Son père était ouvrier mineur. Né à Floing (08), sa famille demeurait à Hergnies où son nom est inscrit sur le monument aux morts.Son nom figure également sur le monument de Floing, sa commune natale. Source : archives municipales Hergnies 59

J'étais à quatre pattes, devais avoir l'air hébété, et fus un moment à reprendre mes sens. Quand je pus me relever et demander aux camarades ce qui se passait, ils me dirent que la torpille avait fait fougasse, c'est-à-dire qu'elle avait éclaté dans le vide de l'abri, bousillant tout en cet endroit, et que les hommes qui étaient dans cet abri étaient morts ou grièvement blessés. Moi, on m'avait retiré des décombres, et depuis ce moment je faisais le fou dans mon coin. La commotion avait été terrible et je m'en ressentis encore... [Lire la suite]

A la fin du chapitre intitulé " Baptême du feu ", Paul RICADAT livre ses réflexions sur la victoire de la Marne : [...] Ce ne sera que longtemps après, quand nous connaîtrons les modalités de la bataille de la Marne, que nous apprendrons que nous faisions partie de cette charnière qui avait Verdun comme pivot. Aussi n'est-ce pas étonnant que nous n'avons pas subi le choc le plus dur, comme Foch, par exemple, aux marais de St-Gond et que nos pertes furent relativement modérées.Ce gigantesque affrontement des deux armées qui... [Lire la suite]

Le Soldat Eugène TESSIER est décédé le 2 août 1918, des suites de maladie, à l'hôpital auxiliaire n° 6 de St Nazaire (44).Il était âgé de 36 ans. Son nom est inscrit sur le monument aux morts de Puceul (44). Merci à Marc.

Marc, suite au relevé du monument aux morts de Derval (44), m'a signalé la présence du nom d'un combattant du 147è RI : le Soldat Julien FRETILLET. Julien FRETILLET fut porté disparu lors des combats de la Tranchée de Calonne le 20 juin 1915. Il était âgé de 34 ans. 

Jean GAUCHER, dont le nom est inscrit sur le monument aux morts de la ville de Nantes (44), était étudiant en droit et engagé volontaire.Il est évoqué dans l'ouvrage Mémorial de la Grande Guerre.Cité le 19 avril 1915 à l'ordre du corps d'armée : Frappé mortellement d'un éclat d'obus dans la tranchée, a conservé tout son sang-froid et répondu à son Lieutenant :J'aurais bien mieux aimé mourir en chargeant à la baïonnette. Titulaire de la Croix de guerre avec palme. Décédé à Pareid (55) le 8 avril 1915, il aurait eu 20 ans 2... [Lire la suite]

Marc qui poursuit ses travaux de recensement sur la Loire Atlantique, me signale 3 hommes du 147è dont le nom commence par la lettre G, inscrits sur le monument aux morts de Nantes (44) :Le Sergent Jean GAUCHER et les Soldats Charles GRESLE et Donatien GUILHARD. Jean GAUCHER, né en avril 1895, est décédé à Pareid le 8 avril 1915 : il n'avait pas encore 20 ans. Le Sergent Jean GAUCHER est évoqué dans le l'ouvrage Memorial de la Grande Guerre. Charles GRESLÉ, né en 1878, avait l'âge d'être réserviste. Avant de servir au 147è RI,... [Lire la suite]

Le Caporal Fernand HOTTON est tombé lors des combats dans le Bois de la Gruerie, le 5 janvier 1915. Il allait avoir 23 ans quelques jours plus tard. Son nom est inscrit sur le monument aux morts de la commune d'Hergnies.Source : archives municipales Hergnies 59

Après une longue interruption dans le récit des Mémoires de Georges HUBIN, je vous propose de reprendre où nous l'avions laissé, du côté de Mesnil les Hurlus en 1915. [...] Nous nous trouvions aussi dans des tranchées allemandes, conquises et retournées contre leurs premiers occupants. Mais elle étaient moins profondes. Et si nous n'eûmes pas grands combats, nous y reçûmes, à chaque instant, des escarmouches, des alertes, et aussi, la chose la plus embêtante, des pluies de torpilles à ailettes, que les Allemands venaient... [Lire la suite]